Test de l'imprimante 1D QIDI Tech Q3 Pro

Ils ajoutent les trucs habituels, comme le filament démo sous forme d'Hyper PLA - pathétiquement peu, seulement 20 grammes -,

outils, description, graisse pour les axes, colle pour la scène, mastic, porte-filament et autres, mais il n'y a rien de choquant dans le colis. Son boîtier est très rigide, le cadre est entièrement métallique, et la plaque inférieure est également ce qui renforce encore la superstructure fondamentalement bonne. Les portes qui s'ouvrent sont en plastique, ce qui me semble mieux que, par exemple, le Créalité K1C verre, ils sont beaucoup plus difficiles à endommager.

La partie supérieure s'enclenche si parfaitement que je pense que la vapeur/gaz ABS ne s'échappera pas non plus du boîtier.

Mise en service d'après le constructeur, 10 minutes, je pense que c'est plutôt 30, ne serait-ce que parce qu'il joue avec l'auto-calibrage, la mise à niveau de la scène - qui est en partie manuelle - et la mise à jour du logiciel pendant un moment. Il y a un putain de petit film sur l'écran qui vous guide à travers les étapes de ce qui doit être dévissé, coupé et retiré d'où. Quoi qu'il en soit, tous les QIDI Tech Q1 Pro ne sont pas pareils, j'ai regardé des vidéos, certains ont un port LAN - le mien l'avait - et d'autres non, donc ici aussi différentes versions ont été mises sur le marché.

Enfiler le filament n'est pas une si grande aventure, je n'ai pratiquement pas eu à jouer avec le tube PTFE d'enroulement, la matière s'est immédiatement mise en place.

La machine détecte également l'épuisement du filament et l'emmêlement, ce que j'ai déjà vécu plus d'une fois, car certains fabricants enfilent le matériau sur la bobine de manière plutôt bâclée.

Je ne perdrai pas de temps, je vais passer aux paramètres techniques, car sur cette base, le QIDI Tech Q1 Pro peut être bien comparé à la concurrence :

• La vitesse: 600mm/s
• Accélération: 20 000mm²/s
• Tête Température: 350 degrés Celsius
• Température de la maison: 60 degrés Celsius
• Tableau d'objets Température: 120 degrés Celsius, d'abord avec réglage manuel, mais avec nivellement automatique, feuille PEI
• Tableau d'objets mérete: 245x245x240 mm
• Affichage: écran tactile vertical de 4,3 pouces
• Microcode: Klipper, avec interface utilisateur Fluidd
• extrudeuse: entraînement direct, avec capteur de faux-rond et d'enchevêtrement
• Buse: Volcan ?
• Connexion de données: WiFi6, LAN, USB-A (pour clés USB)
• Algorithmes: mise en forme d'entrée, avance de pression
• Filaments pris en charge: PLA, PETC, ABS, TPU (95A), ASA (Ender 3 V3 : PLA, TPU, PETG, ABS, PLA-CF, PETG-CF, CR-carbone), PAHT-CF, PET-CF, PA12-CF , ABS-GF25, PC/ABS-FR, etc.

Comme vous pouvez le voir, le nombre de filaments utilisables est assez large, puisque la buse peut atteindre des températures très élevées – pour PAHT CF par ex. Il vous faut 320 degrés Celsius – et la maison est également fermée. Je suis ravi que le filament de démonstration soit du PLA, pour lequel il faut ouvrir le boîtier et donc env. le forfait de base n'a aucun sens. Malheureusement, je n'avais pas non plus d'autre matériel, même si la QIDI Tech Q1 Pro pourrait être transformée en une divine imprimante d'atelier au bon endroit, s'il y avait une aspiration, disons du matériel à base de carbone. Cependant, je ne voulais pas jouer avec des matériaux plus dangereux sans ventilation, et avec quoi aucun filtre à charbon actif n'a été intégré dans la maison, malgré le fait qu'il y ait un ventilateur arrière, donc la nation était un peu "à moitié armée". Mais comme tout le reste, il y a une solution pour ça aussi, puisque l'impression 3D elle-même est la cana du bricolage.

Le contrôle se fait via l'écran réglé avec une excellente sensibilité tactile, le menu est simple mais transparent.

Par rapport à d'habitude, vous verrez ici trois valeurs de température il y a aussi un chauffage de chambre. Malheureusement, la description n'explique pas vraiment comment procéder, mais vous pouvez le comprendre avec un peu de pratique et quelques discussions. Par exemple, le nivellement entièrement automatique de la scène est si mauvais que j'ai d'abord dû régler manuellement la distance standard entre la tête de papier et la scène, à l'aide de vis extrêmement difficiles à tourner. Heureusement, si vous êtes au-delà de cela, tout se passe vraiment automatiquement. Le filament est très facile à enfiler et à retirer, je n'ai pas rencontré de bourrage ou de brouillage, même si ces imprimantes 3D du système CoreXY ont des guides de tube PTFE plutôt maladroits et que je les ai déjà utilisés, voir par exemple Créalité K1 Max.

Après chargement, il nettoie la tête de manière très fraîche au-dessus d'un récipient de collecte,

afin que les déchets ne reposent pas à l'envers au fond du boîtier de l'imprimante ou à l'endroit où ils tombent. La dernière fois que j'ai vu cela, c'était avec les feuilles PEI de la série Creality K1, où les variantes les plus récentes ont également un nettoyeur de tête, mais c'est encore mieux.

J'ai commencé avec l'application QIDI Tech Q1 Pro, QIDI Link, qui contient beaucoup de connaissances et a l'air effrayante.

En soi, la lettre chinoise complète requise pour le règlement est mauvaise, mais après cela, toutes sortes de choses incompréhensibles se produisent. Champ d'adresse IP vide, mais la connexion est établie, disposition des menus confuse, d'après l'image de la caméra 1080p, si le plateau est en position basse, on ne voit presque rien, même s'il y a un éclairage LED intégré et je pourrais continuez encore et encore. Le FPS de l'image de la caméra n'est pas trop élevé, env. 10/seconde, mais parfait pour le monitoring.

Ceux qui ont un esprit de programmation vont adorer, car tout peut être ajusté

et j'avais l'impression qu'un Klipper ouvert fonctionnait dessus, Fluide avec une interface utilisateur. Cela signifie aussi que Vous pouvez accéder à votre serveur web sous Windows, tout peut être contrôlé à partir de là au niveau de la console. Il renvoie des données en temps réel, en commençant par de la température de la chambre à la tête d'impression, on voit vraiment tout. Je n'entrerais pas dans les détails, car cela épuiserait grandement la portée de l'article, mais pour ceux qui veulent sérieusement accéder au « fer » et faire des réclamations à son sujet, c'est une excellente base. C'est bien mieux que tout ce que j'ai vu jusqu'à présent.

Quant au QIDI Print Slicer, c'est un Prusa Slicer converti, mais ils donnent Également pour Orca Slicer profils, alors j'ai essayé les deux. À partir de là, les choses se sont bien déroulées, mais avant de me lancer dans la découpe et l'impression des éléments uniques, j'ai poussé les fichiers 1D d'usine du QIDI Tech Q3 Pro pour voir quel type de qualité peut être obtenu avec les fichiers définis directement sur la machine :

• le petit bateau Benchy est sorti en 17 minutes environ sans problème majeur
• il y avait un clip qu'il a imprimé en quelques minutes en bonne qualité
• le filament a duré environ 2 heures, et il a l'air bien dans cette couleur rouge avec le cylindre noir
• la double tour "calibrage", env. En 3 heures, c'était aussi beau

Dans chaque cas, le problème était qu'il n'y avait jamais eu une seule erreur d'impression, que je n'avais eu aucun problème d'adhérence des couches et que je n'avais rien ajusté.

Une fois, j'ai dû arrêter, et cela s'est produit uniquement parce que j'avais sous-estimé la quantité de matière et que je n'avais plus de filament. Leur qualité est peut-être la meilleure que j'ai vue dans cette catégorie FMD/FFF moins chère, le QIDI Tech Q1 Pro fonctionne avec très peu d'erreurs. Malgré le fait qu'il y avait un modèle où j'avais oublié d'ouvrir le dessus et la porte, même si cela est attendu pour le PLA, le matériau ne s'est pas ramolli ou les couches ont commencé à glisser. La feuille PEI à surface rugueuse adhère parfaitement, je n'ai eu aucun problème de première couche ni de nivellement, la machine a bien fait son travail.

J'ai retiré les objets avec le mastic métallique ajouté, cette solution est bien meilleure que celles imprimées en 3D, en contrepartie vous pouvez rayer la surface. C'est aussi un bon moyen de simplement plier la feuille PEI, les choses se détacheront bien de toute façon. Au-dessus du Q1 Pro il y a aussi un port USB, si quelqu'un veut transférer les fichiers à l'ancienne, mais j'ai laissé cela de côté, car sous Windows, le serveur Web de la machine est accessible en fonction de son adresse IP.

Je l'ai utilisé branché sur le réseau local jusqu'au bout, mais le WiFi 6 est également compatible, donc ceux qui ne souhaitent pas utiliser les câbles du routeur disposent d'une connexion sans fil.

Il y avait les tours obligatoires, le logiciel slicer était disponible. Bien que QIDI Tech ait le sien, que j'ai également étudié, les mauvaises expériences précédentes avec Creality Print et le logiciel de Flasforge m'ont encouragé à rester avec Orca. J'ai ENFIN tranché avec ça, et ça c'est en plus de ça Il atteint également l'appareil sur une base IP, il n'est pas nécessaire de télécharger quoi que ce soit, le slicer gère lui-même le transfert des fichiers 3D. Tout s'est bien passé, il existe plusieurs profils de réglage QIDI Teches, donc c'est simple à utiliser. J'ai imprimé les fichiers 3D suivants :

• a signe astrologique Bélier symbole pour être un ornement
• personnage fantastique, pour tester de petits détails (il s'agit plutôt d'un projet SLA, tous deux FDM, pas particulièrement beau)
• figure de renard à faible polygone, en raison des formes de maillage
• un composé de pièces mobiles palier en raison de tests d'écart

Tous se sont étonnamment bien déroulés, les photos parlent d'elles-mêmes

sauf pour le roulement, où j'ai d'abord foiré le profil et il est sorti à une température plus élevée que je le voulais, mais c'est évidemment une erreur de l'utilisateur. C'était parfait la deuxième fois. bien sûr, il y a encore place à l’amélioration, et c’est exactement le but de ce passe-temps. Les minuscules personnages, en revanche, sont presque impossibles à retirer proprement du support., le support était environ trois fois plus épais que la baguette de la sorcière, c'est donc là que sont les limites. Cela nécessite une machine à résine, le QIDI Tech Q1 Pro n'est plus adapté pour cela.

La qualité pourrait être encore améliorée si j'avais imprimé les modèles avec une buse de 0,4 mm au lieu de la buse de 0,2 mm, mais celle-ci n'est pas incluse avec la machine et doit être achetée séparément.

Ce qui est surprenant, c'est que comparée à une imprimante 3D, la QIDI Tech Q1 Pro est très silencieuse.

Avec la porte ouverte et le capot supérieur fermé, la moyenne était de 50,3 décibels, tandis qu'avec la porte fermée, elle était de 48,9, mais dans ce dernier cas, elle tombait souvent dans la plage de 40 à 45 dB, ce qui est un niveau sonore adapté à un bureau calme. . Je ne peux rien dire, la QIDI Tech Q1 Pro est la meilleure imprimante 3D prête à l'emploi à ce niveau de prix que j'ai rencontrée jusqu'à présent.

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